Une soirée très spéciale. Un jour, Anna demande un service un peu … spécial à Thomas … Comment refuser ?
Juin. Quatre mois que je voyais Anna. Notre relation connaissait une évolution rapide. Il ne s’agissait toujours que de sexe, mais nous étions de plus en inspirés. Nous avions commencé sagement, dans un lit, puis avions étendu notre territoire à toutes les pièces de nos appartements respectifs. Puis nous avions commencé à prendre des « risques » en faisant l’amour dans des lieux publics, comme les parcs, les douches et vestiaires de piscine, la voiture sur un parking. La plupart des idées nouvelles venaient d’Anna, beaucoup plus imaginative que moi.
Bref, chaque rendez-vous ou presque apportait son lot de nouveautés, et j’étais toujours impatient de découvrir la suite.
23h. Nous venions de faire l’amour pour la troisième fois de la soirée, et nous étions maintenant sagement allongés l’un à côté de l’autre, sous les draps, lumière éteinte, prêt à dormir.
Anna me demanda :
– Tu te souviens de la discussion qu’on avait eu dans Rennes, quand je t’avais accompagné à la poste après les cours.
Oh que oui je m’en souvenais ! Je connaissais alors Anna depuis à peine quelques mois. Alors que nous marchions dans la rue, elle m’avait demandé si ma copine (je n’étais pas encore marié) et moi l’avions déjà fait par… l’autre côté. La réponse était non, car ma femme refusait (et je ne lui avais jamais demandé d’ailleurs). Anna m’avait expliqué que son désormais ex petit copain voulait essayer, mais qu’elle avait refusé. Elle avait ajouté qu’elle refusait pour le moment, mais qu’elle n’était pas contre l’idée d’essayer un jour.
– Euh, oui je m’en souviens. Tu m’avais presque choqué, on se connaissait à peine et tu me parlais de truc super intime, lui répondis-je en rigolant.
– C’est vrai.
– Mais pourquoi tu me demandes ça ?
J’avais bien une petite idée de la réponse, mais autant lui demander clairement.
– Eh bien, malgré les demandes de mon ex, j’ai toujours refusé la sodomie. Mais je n’ai pas changé d’avis : je veux toujours essayer… avec toi.
– Pourquoi avec moi ?
– Parce que j’ai confiance ! Quand on fait l’amour, tu te soucies autant de mon plaisir que du tiens, tu es doux et attentionné, tu ferais le partenaire idéal pour tenter l’expérience. Et je me sens prête.
Eh bien ! Que de choses ! J’étais à la fois flatté par ses propos, et effrayé à cette idée. J’étais un novice en la matière, et elle me faisait confiance pour que tout se passe bien.
Durant la semaine qui suivit, je parcourus les sites internet à la recherche des meilleurs conseils et infos. Je voulais être prêt pour que tout se passe au mieux. J’avais lu que quand c’était mal préparé, c’était douloureux, alors que bien fait c’était formidable. Au bout d’une semaine de lecture de forums, d’articles, et de visionnage de vidéos, je me sentais prêt à l’aider à franchir ce cap.
Je n’avais jamais vraiment été attiré par cette pratique. En fait, je n’avais ni intérêt ni désintérêt… jusque-là. Car l’idée avait progressé et j’étais désormais excité à l’idée de le faire. Surtout qu’il s’agirait de notre première fois à tous les deux. Il y avait donc un petit côté adolescent que je trouvais assez génial.
Comme tous les mardis soir depuis de longues semaines, Anna arriva chez moi vers 20h30, après avoir terminé sa journée de travail. Très rapidement après le repas, Anna se retrouva dans mes bras, à m’embrasser, en direction de la chambre.
Je la déposai sur le lit, et la déshabillai sans faire de manière. Je ne me lassai pas du spectacle qui s’offrait à moi. Ses courbes, ses formes me faisaient toujours autant d’effets.
Je parcourus sa peau de mes mains, des épaules aux orteils, de la pointe de ses tétons aux creux de ses cuisses. J’embrassai son cou, ses seins, son ventre. Anna avait fermé les yeux, et un petit sourire était apparu au coin de ses lèvres.
J’attrapai ses haches, et l’invitait à s’allonger sur le ventre. Pendant qu’elle se retournait, je me débarrassai à mon tour de mes vêtements, libérant notamment mon sexe à l’étroit dans mon pantalon.
Je repris mes caresses, sur toute la surface de son dos d’abord, puis de ses jambes, et enfin de ses fesses. Je glissai un doigt le long de sa raie, et descendis lentement vers sa chatte. Ce contact l’électrisa encore plus. Du bout du doigt, je parcourais les lèvres, l’entrée de son vagin, son bouton rose. Tandis qu’Anna écartait les jambes pour me faciliter l’accès, je me mis à genou sur le sol au pied du lit, pour que mon visage soit à hauteur de sa chatte. Ma langue remplaça mon doigt pour parcourir sa vulve chaude et humide.
Je décidai de prendre l’initiative. Je saurais alors très vite si Anna était prête ou non. J’écartai légèrement ses fesses, laissant parfaitement apparaître son petit trou tout rose. Je posai mon doigt dessus et commençai à le caresser. Anna se crispa d’un coup et je m’attendis à ce qu’elle me demande d’arrêter. Mais elle n’en fit rien. Hésitant, je décidai d’aller plus loin, et je posai ma langue sur sa rosette. Réaction immédiate : Anna poussa un petit gémissement. Je la sentais crispée, mais envieuse. Le moment était donc venu de passer aux choses sérieuses.
Je me lançai dans une exploration approfondie de ce petit trou à l’aide de ma langue, tandis que mes doigts caressaient sa chatte.
Je sentis Anna se détendre. Son anus se décrispa, elle mit ses fesses en arrière pour mieux sentir mes coups de langue. De mon côté, je n’en pouvais plus. Je me relevai et me replaçai sur le lit. Anna était toujours allongée sur le ventre, les fesses légèrement relevées, jambes légèrement écartées. Je me plaçai au-dessus d’elle, déposant mon sexe sur la raie de ses fesses. Je fis quelques petits mouvements dans cette position, puis descendis mon gland vers sa chatte. Quelques petits mouvements contre ses lèvres, et je la pénétrai en douceur. Elle laissa échapper un petit cri, et commença à gémir. La position devint assez vite inconfortable pour moi. Je me retirai, attrapai ses hanches et la fis se mettre à quatre pattes. Et je la pénétrai de nouveau. Anna atteignit un premier orgasme, juste avant que je n’atteigne moi aussi le point de non-retour. J’en profitai pour me retirer avant d’éjaculer. C’était pour moi extrêmement frustrant, mais je voulais être sûr d’être d’attaque pour la suite.
Je ne lui laissai pas le temps des souffler, et j’enchainai directement avec un nouvel anulungus. Cette fois-ci, la position à quatre pattes d’Anna me donnait un accès privilégié à son petit trou, et je m’appliquais à l’exciter avec ma langue. Je me fiais aux réactions d’Anna, mais jusque-là elle semblait aimer. J’attrapai rapidement dans ma table de nuit un petit flacon de lubrifiant acheté pour l’occasion, et j’en déposai une noisette sur son anus. Puis je le massai. De nouveau, je sentis son sphincter se détendre de plus en plus.
Je décidai d’introduire un doigt, très lentement. Anna gémit et se cambra. Tandis que mon index commençait des aller-et-venue lents, mon autre main caressait sa vulve. Anna semblait vraiment apprécier le traitement et je pris de l’assurance. Je ressortis mon index, remis du lubrifiant sur sa rondelle, et introduisis non plus un mais deux doigts. J’y allais lentement, m’appliquant pour limiter la douleur et accentuer le plaisir. Anna gémissait. Je ne m’en sortais pas trop mal jusque-là.
Au bout de quelques minutes, je sentis qu’elle fatiguait d’être à quatre pattes. Je lui fis faire volte-face, et l’allongeai sur le dos. Je lui glissai un oreiller sous le bassin pour lui remonter les fesses, et introduisis de nouveau deux doigts dans son anus. En même temps, je déposai ma bouche sur sa chatte et donnai de frénétiques coups de langue. Anna gémissait toujours plus, soupirant, ondulant de tout son corps. Cela m’excitait de plus en plus, d’autant que je n’avais toujours pas joui.
Je déposai une nouvelle grosse noisette de lubrifiant sur son anus, et une autre sur mon gland. Anna se chargea, toujours sans dire un mot, d’étaler le lubrifiant sur ma verge, tandis que je préparais son petit trou.
Puis j’approchai mon bassin, près à la pénétrer. Juste avant, je la regardai dans les yeux :
– Prête ?
– Plus que jamais, répondit-elle dans un souffle.
Mais je sentis de l’inquiétude dans son regard.
Je me plaçai à genou, face à elle, je déposai mon gland sur sa rondelle, et j’appuyai délicatement. Son trou se dilata doucement, et le bout de mon gland disparut. Anna fit une grimace et je me retirai. Mais je recommençai aussitôt, en appuyant encore plus lentement. Soudain, son trou s’ouvrit et avala mon gland. Anna poussa un petit cri, mélange de plaisir et de douleur. Doucement, je commençai des aller-et-venue, de plus en plus profond. Le visage d’Anna se crispait encore parfois, témoin de quelques petites douleurs. Mais elle se détendit rapidement, et c’est presque en totalité que ma bite disparut dans son cul. C’était pour moi une sensation nouvelle. Ma bite était beaucoup plus serrée que dans sa chatte. C’était très agréable ! J’accélérai mes mouvements, lui arrachant des gémissements et des soupirs. Elle haletait de plus en plus et je vis dans son regard qu’elle aimait vraiment ça. Elle adorait même, et me le fit savoir :
– Oh oui, vas-y, c’est trop bon, j’adore ça, défonce moi !!!
Ça y est ! La crainte avait été remplacée par le plaisir, et elle prenait elle aussi de l’assurance. Elle me dit alors :
– Allonge-toi sur le dos.
Je m’exécutai aussitôt. Anna m’enjamba, et se plaça dos à moi, au-dessus de ma bite. Elle l’attrapa d’une main pour la guider, et se la mit elle-même dans le derrière. C’était désormais elle qui donnait le rythme, gérant elle-même son propre plaisir. J’attrapai ses seins, les pelotai, les caressai. Mais je restai concentrer, pour retarder au maximum mon éjaculation.
– Oh oui caresse-moi les seins, caresse-moi tout entière.
D’accord ! Je dirigeai une main vers sa chatte, et commençai à caresser son clitoris, de plus en plus vigoureusement. J’accélérai la venue de son orgasme. Quand il survint, elle se contracta de toute part, serrant encore plus fort mon sexe gonflé au fond de ses entrailles. N’en pouvant plus, je cédai à mon tour, et éjaculai puissamment dans son cul, lui déversant des giclées de spermes dans les intestins.
Anna se retira et s’effondra sur le lit, les fesses en l’air.
– Alors ? Lui demandai-je.
– Formidable… Merci ! Répondit-elle au bord de l’épuisement, mais avec un sourire béat.
Elle ferma les yeux et s’endormit.
A partir de cette nuit-là, je l’ai prise par derrière à plusieurs reprises. Mais pas à chaque fois. « N’abusons pas trop des bonnes choses. », m’avait-elle dit.
Je pensais à ce moment-là avoir atteint l’apogée de ce que je vivrai sexuellement avec elle. Mais je me trompais…
A suivre…
Proposée par Thomas