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La soumise – 2ème chapitre – Gang Bang dans le jardin

Je continue à sucer avec ardeur son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens la sperme couler dans ma bouche. J’aspire fort, avale goulûment. Ils n’ont rien eu à dire, à exiger de moi : c’était une évidence. L’ami de mon Maître m’offrait sa semence et je me devais de l’avaler. Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et m’encule violemment. Puis il s’arrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :

« – Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ? »
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je m’agenouille. Sa queue est si près… Je tend le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
« – Quelle affamée ! Elle aime la bite ! »
« – Non. »
« – Comment ça ? »
« – Explique, sale chienne. »
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
« – Je n’aime que la queue de mon Maître. Les autres m’indiffèrent. »
« – Ah oui ? Tu m’as bien sucé pourtant ! »
Je rétorque, outrée :
« – Bien sûr ! Mon Maître m’offre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si c’était la sienne ! »
Il pousse un sifflement d’admiration :
« – Eh bé… Tu l’as bien dressée ! »
Mon Maître murmure juste en me dévisageant :
« – Ouais… »
Il n’a pas dit que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et je suis heureuse d’y lire son plaisir. Je mouille terriblement. Je veux me toucher mais il m’arrête d’un mot. Mes jambes tremblent : je suis au bord de jouir. Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à l’avaler, m’étouffe. Mais je m’en fiche, je lèche comme si c’était un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, différent d’auparavant. C’est si bon. Son ami rit à nouveau :
« – Dire qu’elle bouffe son cul indirectement ! Quelle cochonne ! »
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux m’empêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je l’accompagne de la langue, retardant le moment où je n’aurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne d’un ton sec :
« – Tes seins. »
Il n’a pas besoin d’en dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis j’enfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
« – Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après. »
« – Ok. »
Puis il s’adresse à moi avec douceur :
« – Tu vas jouir, salope. »
Je lui suce le gland puis j’arrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
« – En position, chienne. »
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. De l’alcool coule et me brûle. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je m’effondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement j’ai joui. Des larmes coulent sur mes joues. Des larmes de honte. Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Sans même me toucher avant. Juste en m’enculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et j’ai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille. A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Je m’en délecte. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux qu’aimer ça. C’est si simple que cela me terrifie.

Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas qu’elle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon. Puis ils reviennent. Ils me font relever. A nouveau je dois serrer mon cul pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître m’a offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier. Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je me tend, prête à la recevoir. Il la plante. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. C’est la première fois qu’il honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais c’est lui qui l’a planté. Pas son ami. Lui. Il m’a faite cet honneur. Je suis heureuse. Je voudrais le remercier mais je sais qu’il me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
« – Laisse-toi aller… Complétement… »
J’urine alors. Ca coule dans la bouteille. A côté aussi, coulant sur mes cuisses. Je devrais avoir honte, me révolter. Mais je n’y arrive pas. Je retiens une nouvelle vague de jouissance. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. J’en connais la composition pourtant. Mais je n’arrive pas à trouver cela mauvais. Ni même sans saveur. J’en voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur d’alcool, d’urine. J’ouvre grand mes narines. Je défaille de plaisir. Il murmure :
« – Petite souillon… »
Je retiens ma respiration. Vas t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
« – On va te laver, tu en as bien besoin ! »
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
« – Pourquoi elle chiale, cette conne ? »
« – Parce qu’elle est mienne. Ca la rend heureuse. »
Il n’a même pas eu besoin de me demander. De toutes façons mon avis en compte pas. Si il s’était trompé j’aurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
« – Vraiment bien dressée… »
Je ris intérieurement. Il n’a pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant qu’il eut à faire des efforts pour me faire sienne…

Je sentis l’air frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant d’être en pleine rue. Surtout que je marchais sur du béton. Ou alors devant chez lui, livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que j’étais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je m’étais arrêtée… Il gronda :
« – Un problème, sale pute ? »
« – N… Non, je suis désolée, Maître. Aucun souci. »
Il me gifla et cria :
« – Ne me mens jamais ou je te renie ! »
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fière de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré l’étranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
« – Pardon, Maître ! Pardonnez votre vile chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi ! »
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et m’a tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout au milieu de… Sa terrasse ? La rue ? Je ne savais même pas… Un jet d’eau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
« – Reste en place, pétasse. Et tourne sur toi même qu’on puisse te laver bien partout. »
Je bafouillais :
« – Ou… Oui, Maître. Pardon. »
« – Arrête de t’excuser et obéis, tu me gonfles. »
Je m’apprêtais à m’excuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Je n’avais pas à m’excuser. Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que l’importuner. J’oubliais ma place, j’oubliais qu’il n’avait aucune raison de se préoccuper de mes excuses. Quelle imbécile ! J’avais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. J’offrais alors mon corps au jet. Je savourais ces caresses indirectes, tirant du plaisir d’être le centre de son attention.

Enfin le jet s’interrompit. J’attendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, j’étais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. J’aurais été bien incapable de reconnaître ainsi les mains de mon mari… Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
« – Ouvre l’arrivée d’eau. »
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet s’arrêta. Il pinça les lèvre de mon intimité. De l’eau coulait malgré tout. Il susurra :
« – Essaie d’en garder le maximum, ma chienne. »
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. J’avais mal et j’étais nauséeuse. Enfin il ressortit le tube. Je serrais les fesses, anticipant son ordre. Je restais quelques secondes ainsi, au bord de la rupture. Enfin une petite phrase :
« – Lâche tout. »
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. J’étais sûre qu’il n’y avait pas que de l’eau qui giclait de mes orifices… Il ricana :
« – Et bien ! Ca en avait bien besoin… Dire que j’ai foutu mon sexe la dedans ! »
J’ai rougi, gênée d’avoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
« – Heureusement tu l’as bien nettoyé, petit aspirateur à bite ! »
Puis il me claqua la fesse et m’essuya la chatte et le cul avec une vieille serpillère.

Il m’entraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leur deux queues avec délice. Puis je sentis qu’il s’allongeait alors que son ami pilonnait vigoureusement ma gorge. J’étais follement excitée : il allait me prendre ! Il me prit par la taille et m’attira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin. Le dernier trou qu’il n’avait pas conquis. Il s’enfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors qu’il profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant. Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
« – Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ? »
« – Non. Je ne suis pas habituée. »
« – Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir te baiser le cul en même temps qu’il te lime ? »
Je ris :
« – Bien sûr que si ! Ca ne rentrera pas. Mais vous n’aurez qu’à forcer. »
« – Oh. ca va te faire mal, non ? »
« – Bien sûr. »
« – Et tu vas jouir ? »
« – Comme une salope. »
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
« – Bien ! On y mettra d’autres choses alors ! »
Je ne compris pas ce qu’il voulait dire mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir : il pénétra mon anus. Je m’effondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en m’étranglant. Mon corps ballotait sous leur assauts. Il gueula :
« – Eh ! Tu tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ? »
Je luttais contre l’engourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. J’étais si contente : il prenait la peine de m’aider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on pris ma main et le posa sur un autre que je commençait alors à branler méthodiquement.

Je ne réalisais pas tout de suite. L’arrivée d’une autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente qu’ils n’étaient pas deux. Mais bien plus. Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec l’énergie du désespoir. Ils me firent tourner sur moi même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau l’anus. Son ami se pencha sur moi entrainant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut. On me forçait à avaler profondément une queue en en branlant deux autres. Je compris pourquoi il s’était ainsi penché sur moi quand un autre sexe chercha l’entrée de mon vagin. Il eut du mal à entrer et ne s’enfonça guère loin mais cela suffit à m’arracher des cris de douleur étouffés. cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement. Je n’avais à nouveau plus que deux queues en moi. Le moment que je craignais arriva enfin : mon cul s’emplit de sperme. Mon Maître allait m’abandonner. Mon seul espoir était d’être assez salope pour rapidement l’exciter de nouveau. Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors qu’il giclait sur mon corps. D’autres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée qu’il me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je n’eus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et l’idée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés. Je fus remplie par vague. Il y eut des pauses alors que les premiers devaient se faire durcir à nouveau pour revenir en moi. Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe… J’y accordais une attention particulière, jouissais plus qu’avec les autres. Je me devais d’apprécier tout ces sexes puisqu’il me les offrait. Mais jamais autant que le sien. C’était inconcevable, inimaginable. Enfin les membres cessèrent peu à peu d’être remplacés. J’étais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. J’aurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et qu’il me prenne jusqu’à l’inconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. J’étais trop épuisée pour avoir honte maintenant…

Ils me firent lever et je fus aussi étonnée qu’eux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
« – On l’a bien défoncée, la salope ! Regardez dans quel état on l’a mise ! »
« – Ouais, je paries qu’elle a la chatte sèche d’avoir trop mouillé ! »
« – Et son cul ? Il doit être aussi dilaté qu’un tunnel routier ! »
« – Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV ! »
« – Et en plus lubrifié par son sang… »
Ils éclatèrent de rire. L’un d’eux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
« – Qu’est-ce qu’elle a cette conne ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre qu’elle est outrée ? »
« – Pose la à terre, tu vas comprendre. »
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Je me serrais fort contre lui. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je m’en fichais. J’étais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience…

Je me réveillais la tête dans le coton. J’avais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que j’avais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail : la sucer. Des mains me caressaient. J’étais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. L’homme que je suçais dit :
« – Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin ! »
Les hommes commencèrent alors à s’agglutiner autour de moi. J’avais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne. Un deuxième sexe força l’entrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. J’écartais les cuisses pour l’accueillir. Il me prit doucement. C’était lui, je le savais. J’avalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute …

Proposé par Talis Cat

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